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Montfort

 

 (...) La froide ordonnance géométrique issue du carrelage, des portes et des fenêtres, des couloirs, des radiateurs et du mobilier ne peut éteindre le mystère des visages, la brûlure de la mélancolie, de la solitude. Visage, chemin du regard, de l'intériorité.  Ici encore, l'oeil écoute, réfléchit, tente un accord avec le visible : délier le vêtu, l'apparence pour nouer le vécu. (...)

 

(extrait d'un texte de Philippe Mathy écrit pour l'exposition des images en 1998)

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